Ethique de l'art
Expérience et sujets : c’est dans le blog
Techniques de l'art
Le blog dévoile le comment de la sculpture
Expérience et sujets : c’est dans le blog
Le blog dévoile le comment de la sculpture
Pour cet article qui veut traiter de la sculpture et de son déclin, nous entendons sculpture dans le sens habituel ; cet art est un travail sur la matière.
La sculpture vise à la pérennité.
Que peut- on alors penser de la sculpture de matières éphémères, à base de matières fragiles ?
Table des matières
ToggleLa conception contemporaine de la sculpture s’attache à l’emploi de matériaux nouveaux comme les résines, qui semblent tendre vers le pérenne. Car nier l’idée de projection dans le temps d’une sculpture est une contradiction.
Le déclin de la sculpture ne se situe pas dans la matière utilisée.
La sculpture de la matière pierre passe par des techniques
Une relativisation du « tout » se démontre dans la réalité :
La pierre est une des matières premières de la sculpture dans l’histoire. Des œuvres anciennes nous sont parvenues ainsi que des sculptures bois, ivoires, os, terres cuites…
Par quoi la sculpture est – elle menacée et mise en péril ?
Associée à la difficulté du commerce, la création plastique contemporaine ne s’investit pas dans des matières durables, pérennes (bronze, pierre…). La création contemporaine nous présente des oeuvres en matières intermédiaires : plâtres, résines, ou parfois métaux.
La plus grande menace sur la sculpture concernerait son caractère tridimensionnel :
– l’écran plat éloigne la confrontation de l’esprit avec la tridimensionnalité de l’objet naturel et des êtres.
Selon Friedrich Kittler les « médias optiques » entraînent la fin des beaux-arts. Ce grand penseur rejoint la thèse hégélienne de la « fin de l’art ».
Relativiser le beau réduit tout discours. Il promeut le « n’importe quoi », dans la mesure ou n’importe qui peut faire de l’art, être artiste !
Ce glissement vers le « tout relatif » se voit en sculpture par la qualité des œuvres. Mais comment en parler ?
C’est la voix du peuple qui décide au final de la qualité des œuvres, leur durée…
Le climat de relativisation du beau pour l’œuvre d’art et la sculpture qui nous intéresse, se heurte aujourd’hui à
Le déclin de l’art peut être une théorie que certains voudraient voir, ceux – ci étant incapable d’admettre le contraire.
Toutefois à partir de la matière,
Relativiser le beau réduit tout discours. Il promeut le « n’importe quoi », dans la mesure ou n’importe qui peut être artiste !
Ce glissement vers le « tout relatif » se voit en sculpture dans la basse qualité des œuvres. Mais comment en parler ? C’est la voix du peuple qui décide au final de la qualité des œuvres, leur durée.